Les mouvements de main d'œuvre au 1er trimestre 2005
- 30 janvier 2006
- Dares Indicateurs N°05.1
Au premier trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim fléchit dans les trois grands secteurs d’activité.
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Au premier trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim fléchit dans les trois grands secteurs d’activité.
En 2004, un peu moins de 164 000 contrats en alternance ont été comptabilisés.
Les recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus restent à un faible niveau pour le deuxième trimestre consécutif. L'essoufflement du rythme des embauches s'observe dans tous les secteurs. Il est un peu plus prononcé ce trimestre dans le secteur tertiaire.
La durée hebdomadaire effective du travail reste stable par rapport au trimestre précédent. Elle s'établit, en moyenne, à 38,99 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,87 heures pour les non-ouvriers et à 39,12 heures pour les ouvriers.
La durée hebdomadaire effective du travail reste à peu près stable par rapport au trimestre précédent Elle s'établit à 38,98 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,86 heures pour les non-ouvriers et 39,12 heures pour les ouvriers.
Les recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus chutent de plus de 10 % entre le quatrième trimestre de 1990 et le premier trimestre de 1991. Le taux d'entrée en données corrigées des variations saisonnières passe en effet de 7,8 % à 7,0 %.
La durée hebdomadaire effective du travail subit une légère hausse saisonnière par rapport au trimestre précédent. Elle s'établit, en moyenne, à 38,99 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,86 heures pour les non-ouvriers et à 39,13 heures pour les ouvriers.
La dépense pour l'emploi (DPE) recense les efforts consentis par la collectivité nationale pour J'emploi et la formation. Cet effort représente 217 milliards de francs en 1990, en hausse de 4,1% en francs constants par rapport à 1989.
Un tiers des entreprises qui ont conclu un accord d'intéressement ont mis en place un plan d'épargne d'entreprise.
Les salariés des petits établissements ont travaillé en moyenne 39,6 heures par semaine et ont perçu un gain brut mensuel de 8 638 F. Ceux des établissements de plus de 10 salariés ont gagné 9 433 F et ont eu une durée hebdomadaire de travail de 39,0 heures.