La formation professionnelle représente une dépense globale estimée à 66 MdF, en progression de près de 7 % par rapport à 1989.L'effort financier de l'État (21,5 MdF) augmente de 4,4 % en 1990, celui des régions est estimé à 3,8 MdF. La participation financière des entreprises demeure la plus importante (40 MdF). Celle de l'Unedic (1,2 MdF) croît de moitié par rapport à 1989 en raison du développement de l'allocation formation-reclassement et des conventions de conversion.
Les dépenses de maintien de l'emploi (2,9 MdF) augmentent de 9 %. La forte reprise, en fin d'année, du chômage partiel fait légèrement augmenter son coût pour l'État (0,17 MdF). Les autres dépenses relèvent de dispositifs spécifiques (Bâtiment: 1,1 MdF) ou d'aide structurelle (indemnités spéciales de montagne : 1,3 MdF).
La rubrique Incitation à l'activité (4,5 MdF, en hausse de 5 %), recouvre des aides individuelles favorisant l'insertion professionnelle de certaines catégories de la population : la garantie de ressources des travailleurs handicapés (3,3 MdF) et la dotation d'installation aux jeunes agriculteurs (1,1 MdF).
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