La durée du travail, principaux indicateurs
- 21 décembre 2016
- Dares Résultats N°080
En 2015, les salariés à temps complet déclarent une durée habituelle hebdomadaire de travail de 39,1 heures.
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En 2015, les salariés à temps complet déclarent une durée habituelle hebdomadaire de travail de 39,1 heures.
En 2013, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,2 milliards d’euros.
En 2014, 1,4 million de personnes sont pluriactives, c’est-à-dire qu’elles déclarent simultanément travailler pour plusieurs employeurs ou exercer plusieurs professions. Parmi elles 1,2 million sont salariées dans leur profession principale.
Les personnes occupant à un moment donné de leur parcours professionnel un emploi à temps partiel ont des profils socioéconomiques et des comportements d’activité différents.
Les parcours professionnels des femmes présentent une grande diversité au regard du recours au temps partiel, du passage par l’inactivité et des types d’emploi occupés.
La durée hebdomadaire du travail est en très légère hausse par rapport au début du troisième trimestre 1996. Elle s'établit, en moyenne, à 38,92 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,83 heures pour les non-ouvriers et à 39,04 heures pour les ouvriers.
L'évolution de la législation a, depuis 1992, favorisé le développement du temps partiel qui s'est, dans certains cas, inscrit dans le cadre d'accords de branche ou d'entreprise.
La durée hebdomadaire effective du travail est en légère hausse par rapport au début du troisième trimestre 1996 ; elle s'établit à 38,93 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,85 heures pour les non-ouvriers et à 39,05 heures pour les ouvriers.
La durée hebdomadaire du travail est stable par rapport au début du deuxième trimestre 1996. Elle s'établit, en moyenne, à 38,91 heures pour J'ensemble des salariés, à 38,82 heures pour les non-ouvriers et à 39,03 heures pour les ouvriers.
Les effectifs salariés restent stables (+ 0,0 %) dans les secteurs privés et semi-publics les plus soumis à la conjoncture économique au cours du deuxième trimestre 1996. Sur un an, les effectifs augmentent de + 0,2 %.