L’insertion par l’activité économique en 2016
- 15 novembre 2017
- Dares Résultats N°074
Fin 2016, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) comptait un peu plus de 132 000 salariés, un nombre quasi stable par rapport à 2015.
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Fin 2016, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) comptait un peu plus de 132 000 salariés, un nombre quasi stable par rapport à 2015.
En 2014, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,6 milliards d’euros.
En 2015, 185 900 embauches en contrat de professionnalisation ont eu lieu, soit une hausse de 5 % en un an. Elles continuent de progresser dans l’industrie (+7 %) et le tertiaire (+6 %) tandis que le secteur de la construction est toujours en recul (-11 %).
Cet article décrit la manière dont les bénéficiaires d’un dispositif particulier de politique de l’emploi, l’insertion par l’activité économique (IAE), sont accompagnés et formés durant leur parcours et leur ressenti objectif et subjectif sur ce parcours.
Comment des entreprises sociales particulières, les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE), remplissent-elles leur mission d’accompagnement et de réinsertion de publics en difficulté tout en réalisant une activité de production au sein d’un environnement économique plus ou moins concurrentiel ?
Le troisième trimestre 1998 est toujours bien orienté en matière d’évolution du marché du travail, même si les rythmes de création d’emplois et de baisse de chômage semblent se ralentir quelque peu par rapport aux trimestres précédents.
Avec une hausse de près de 9 % par rapport à 1996, l’essor des contrats de formation en alternance se poursuit en 1997.
En fin d’année 1997, les 778 entreprises d’insertion existantes employaient plus de 10 150 personnes en contrat d’insertion, soit une augmentation de 4 % par rapport à 1996.
En dépit d’un léger ralentissement des créations d’emplois, le second trimestre 1998 reste bien orienté du point de vue de l’évolution de la situation du marché du travail.
En 1996, un peu plus de deux ans après leur entrée en contrat de qualification, 61,8 des jeunes ont obtenu un diplôme ou une validation de leur formation.