Licenciements de salariés protégés de 2001 à 2003 : le motif économique prédominant, toujours et encore
- 19 septembre 2005
- Dares Analyses N°38.3
Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
18 résultats
Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
Pour promouvoir l’emploi des travailleurs âgés, les pays d’Europe du Nord ont mis en place des dispositifs qui influent sur les pratiques des entreprises.
En 2004, 29 400 personnes sont entrées dans des dispositifs publics d’accompagnement des restructurations,soit une augmentation de 12 % par rapport à 2003.
En 2003, les conditions d’accès aux dispositifs de préretraites ont été durcies avec la réforme des retraites et les objectifs du plan national d’action pour l’emploi qui visent à favoriser le maintien des plus âgés sur le marché du travail.
En 2002, l’effort de la nation en matière de formation professionnelle et d’apprentissage s’amenuise encore : avec 1,43 % de la richesse nationale, il retrouve un niveau proche de celui de 1988.
La présente étude dresse un panorama de ces dispositifs, à partir des exemples de six pays européens : Finlande, Suède, Danemark, Pays-Bas, Allemagne et Royaume-Uni.
Plus du quart des personnes de 50 à 59 ans étaient sorties prématurément de l’emploi en mars 2002.
La proportion de seniors en emploi reste plus faible en France que dans beaucoup d’autres pays européens.
Le troisième trimestre 1998 est toujours bien orienté en matière d’évolution du marché du travail, même si les rythmes de création d’emplois et de baisse de chômage semblent se ralentir quelque peu par rapport aux trimestres précédents.
En 1997, 78 000 personnes ont adhéré à un dispositif de préretraite tandis que près de 71 000 personnes âgées de 55 à 59 ans sont entrées en chômage indemnisé.