L'offre de formation continue en 2005
- 23 novembre 2007
- Dares Résultats N°48.1
En 2005, le chiffre d’affaires des organismes de formation professionnelle continue s’est stabilisé à 5,4 milliards d’euros, soit 0,9 % de moins qu’en 2004.
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En 2005, le chiffre d’affaires des organismes de formation professionnelle continue s’est stabilisé à 5,4 milliards d’euros, soit 0,9 % de moins qu’en 2004.
25,9 milliards d’euros, tel est le montant de la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2005. L’effort de formation de la nation reste stable, à 1,5 % du PIB.
Fin août 2007, 1 970 600 demandeurs d’emploi sont inscrits en catégorie 1.
Dans le secteur de l’insertion par l’activité économique, le nombre d’associations intermédiaires, d’entreprises d’insertion et d’entreprises de travail temporaire d’insertion s’élevait à 1 800 fin 2005, auxquelles se rajoutent 3 300 ateliers et chantiers d’insertion.
En 2004, l’activité des organismes de formation professionnelle continue a poursuivi sa progression (+9,1%). Après une réduction en 2003, le nombre de prestataires a augmenté (+2,1 %) et le nombre de stagiaires s’est également accru (+6,7%).
La dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage a augmenté de 2,4 % en 2004, portant sa hausse à 8,1 % depuis 1999.
85 000 personnes environ sont entrées dans des dispositifs d'accompagnement des restructurations en 1990 alors que l'ANPE enregistrait environ 430 000 inscriptions suite à un licenciement économique (catégorie 1).
La dépense pour l'emploi (DPE) recense les efforts consentis par la collectivité nationale pour J'emploi et la formation. Cet effort représente 217 milliards de francs en 1990, en hausse de 4,1% en francs constants par rapport à 1989.
Au cours des deux dernières années, les associations intermédiaires ont consolidé leur implantation : au cours du premier semestre 1991, elles ont fourni 1,3 million d'heures de travail en moyenne chaque mois, soit l'équivalent de 7 700 salariés à plein temps.
Sur les 160 conventions exploitées, la moitié des entreprises d'insertion relèvent en 1990 des services non marchands, le quart des services marchands (dont 14 % des services marchands rendus aux particuliers) et 17% du bâtiment génie civil et agricole.