Licenciements de salariés protégés de 2001 à 2003 : le motif économique prédominant, toujours et encore
- 19 septembre 2005
- Dares Analyses N°38.3
Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
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Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
En 2004, 29 400 personnes sont entrées dans des dispositifs publics d’accompagnement des restructurations,soit une augmentation de 12 % par rapport à 2003.
En 2002, l’effort de la nation en matière de formation professionnelle et d’apprentissage s’amenuise encore : avec 1,43 % de la richesse nationale, il retrouve un niveau proche de celui de 1988.
Le marché du travail continue de se détériorer en 2003 sous l’effet du ralentissement économique persistant depuis 2001.
Avec une baisse de 11 % en 2003, les embauches en contrats de qualification, d’adaptation et d’orientation reculent pour la troisième année consécutive.
Après une légère hausse de 1,2 % en 1998, les entrées dans les dispositifs spécifiques de politique d'emploi ont à nouveau baissé en 1999 (- 3,4 %) elles se sont établies à 2,2 millions.
Avec près de 230 000 contrats conclus, l’apprentissage enregistre une croissance de 4 % de ses entrées en 1999.
En 1999, environ 126 000 personnes ont bénéficié d’un des dispositifs de reclassement accompagnant une restructuration.
Avec 6 600 nouvelles entrées en 1999, le contrat d’orientation a poursuivi son développement, à un rythme cependant moins soutenu qu’en 1998.
Après deux années de hausse des entrées en contrat de qualification et d’adaptation, 1999 a été marqué par un net ralentissement des embauches pour la première mesure (+2 %) et par un recul sensible pour la seconde (- 8 %).