Les services à la personne en 2015
- 10 février 2017
- Dares Résultats N°011
En 2015, l’activité dans le secteur des services à la personne continue de reculer (-1,6 % après -1,2 % en 2014).
14 résultats
En 2015, l’activité dans le secteur des services à la personne continue de reculer (-1,6 % après -1,2 % en 2014).
Près de 4 millions d’emplois, c’est ce que représentent en moyenne sur les années 2010 à 2014 les « professions vertes » – celles qui ont une finalité environnementale –, et les « professions verdissantes » – celles dont l’exercice est potentiellement affecté par la prise en compte des préoccupations environnementales.
Cette étude donne pour la première fois un aperçu de la dynamique de l’emploi dans les professions vertes et verdissantes, en comparant les résultats du recensement de 2012 à ceux de 2007.
Depuis le début des années 1980, le nombre de personnes en emploi en France métropolitaine a progressé de 3,4 millions, pour atteindre 25,8 millions en moyenne sur la période 2012-2014.
En 2006, les salariés du secteur des services à la personne ont travaillé 712 millions d’heures au domicile de particuliers, soit une progression de 5 % par rapport à 2005. Parmi eux, les salariés des organismes prestataires ont travaillé 185 millions d’heures (+13 %).
La Dares réalise périodiquement des projections à moyen-long terme d’emploi et de postes à pourvoir par métier, en collaboration notamment avec le Centre d’analyse stratégique (CAS), dans le cadre du groupe « Prospective des Métiers et des Qualifications » (PMQ).
Qui sont les particuliers qui recourent à des services à la personne à leur domicile ?
D’ici 2015, le nombre de postes à pourvoir sur le marché du travail devrait augmenter fortement quand les générations nées après 1945 arriveront en fin de carrière.
Après plusieurs années de croissance, le nombre de demandeurs d’emploi dans les métiers du spectacle, intermittents de spectacle pour une majorité d’entre eux, s’est stabilisé à partir de 2003.
La baisse de l’emploi industriel depuis 2000 n’est pas le reflet d’un phénomène de désindustrialisation « aggravé ».