Les métiers en 2015
- 7 décembre 2005
- Dares Analyses N°50.1
D’ici 2015, le nombre de postes à pourvoir sur le marché du travail devrait augmenter fortement quand les générations nées après 1945 arriveront en fin de carrière.
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D’ici 2015, le nombre de postes à pourvoir sur le marché du travail devrait augmenter fortement quand les générations nées après 1945 arriveront en fin de carrière.
En 2004, 4 400 candidats se sont présentés à des épreuves de validation d’un titre professionnel du ministère chargé de l’emploi. 1 700 ont terminé leur parcours de validation avec l’obtention du titre complet.
En 2002, l’effort de la nation en matière de formation professionnelle et d’apprentissage s’amenuise encore : avec 1,43 % de la richesse nationale, il retrouve un niveau proche de celui de 1988.
Le marché du travail continue de se détériorer en 2003 sous l’effet du ralentissement économique persistant depuis 2001.
Lancé au mois de décembre 1994, pour une période expérimentale d'un an, le chèque-emploi-service recouvre le même champ que le dispositif d'incitation à la création d'emplois familiaux mis en œuvre en 1992.
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1994 à 286 milliards de francs, soit une très légère baisse en francs constants, contrairement aux hausse enregistrées ls quatre années antérieures.
Après avoir connu une vive croissance en 1992, année de la mise en place du dispositif d'incitation à la création d'emplois familiaux, la population des employeurs a continué à se développer à un rythme soutenu au cours des deux années suivantes.
Durant les dix années 1983-1993, les dépenses consacrées par les Conseils régionaux à la formation professionnelle ont moins progressé que leur budget total.
Malgré l'amélioration économique, les Français continuent d'afficher, en début 1995, une forte inquiétude vis-à-vis du chômage. Une large majorité de Français (61 %) continue à croire que le chômage va encore augmenter.
Au début des années 90, la détérioration du climat économique a pesé sur l'évolution des salaires. Les jeunes nouvellement embauchés n'ont pas été épargnés : en francs constants, leurs salaires mensuels nets ont diminué quand ceux de l'ensemble des salariés sont restés stables.