Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en octobre 2020
- 25 novembre 2020
- Covid-19
En octobre, l’activité recule légèrement, pour la première fois depuis la reprise.
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En octobre, l’activité recule légèrement, pour la première fois depuis la reprise.
En cas de maladie, les salariés qui signalent de mauvaises conditions de travail dans l’entreprise sont moins enclins à l’absentéisme.
La Dares a apporté son expertise à la publication Emploi, chômage, revenus du travail (Insee Références, édition 2020), un ensemble d’analyses et d’indicateurs portant sur le marché du travail.
Selma Mahfouz, directrice de la Dares, répond aux questions d’Acteurs Publics à l’occasion de la publication du tableau de bord hebdomadaire de suivi de la situation sur le marché du travail.
Du point de vue du marché du travail, le troisième trimestre 1996 se situe tout à fait dans le prolongement des trois précédents : l'emploi salarié reste depuis un an pratiquement stable dans une contexte de faible croissance économique et le chômage continue à augmenter.
Le deuxième trimestre 1996 est marqué par un recul de l'activité économique. Dans ce contexte particulièrement défavorable, le niveau global de l'emploi salarié privé demeure stable.
La diversité des marchés locaux du travail dessine une géographie qui permet de mieux identifier les risques des territoires (ici les zones d'emploi) face au chômage.
En 1995, un peu plus de 200 000 personnes sont entrées dans l'un des dispositifs publics d'accompagnement des restructurations. Après une diminution modérée des entrées en 1994 (- 4 %), l'année 1995 est donc marquée par un recul très prononcé (- 21 %).
Destinés aux demandeurs d'emploi de longue durée et aux personnes en grande difficulté, les contrats emploi-solidarité et les stages d'insertion et de formation à l'emploi regroupent en moyenne près de 40 % des entrées dans l'ensemble des mesures de politique d'emploi.
Au premier trimestre 1996, la situation du marché du travail reste difficile : en raison de l'essoufflement de la reprise de l'activité économique, l'emploi salarié privé stagne. Le nombre d'entrées dans les dispositifs de la politique de l'emploi, notamment les CES, a baissé.