Les contrats d'aide à l'emploi en 2013
- 5 décembre 2014
- Dares Analyses N°093
538 000 contrats aidés ont débuté en 2013 dont 345 000 nouvelles embauches et 193 000 reconductions de contrats.
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538 000 contrats aidés ont débuté en 2013 dont 345 000 nouvelles embauches et 193 000 reconductions de contrats.
Au 1er janvier 2014, la revalorisation du Smic horaire a concerné 10,8 % des salariés, soit plus de 1,6 million de salariés (hors apprentis et intérimaires) des entreprises du secteur concurrentiel, après 12,3 % au 1er janvier 2013 et 11,1 % au 1er décembre 2011.
Entre novembre 2012 et décembre 2013, 91 000 emplois d’avenir ont été prescrits, quasi exclusivement par les missions locales.
En 2013, dans un contexte de faible inflation et de modération du rythme de l’activité de négociation salariale de branche, le salaire mensuel de base (entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel) a progressé de 1,6 % en glissement annuel, après +2,1 % en 2012.
Des données originales pour l’analyse de l’impact des hausses de salaire conventionnel négociées sur l’évolution du salaire mensuel de base.
L’objectif de cette enquête était de compléter les données disponibles dans les fichiers administratifs pour analyser les trajectoires professionnelles des populations enquêtées et mesurer l’impact du passage en contrats aidés sur celles-ci, ainsi que sur leurs conditions de vie.
En 2011, dans le secteur privé et les entreprises publiques, la rémunération brute mensuelle moyenne des salariés en équivalent-temps plein (EQTP) s’est élevée à 2 829 euros (+2,4 % par rapport à 2010) et le salaire moyen net de tous prélèvements sociaux à 2 128 euros (+2,3 %).
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.
Plus d’un million de jeunes de 16 à 25 ans ont été accueillis en 2004, dont plus de 440 000 pour la première fois.
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1993 à 289 milliards de francs, soit une progression de 8 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépense d'indemnisation du chômage en hausse de 5 % en représentent 43 %.