Les préretraités dans l'enquête Emploi depuis 2014
- 13 mars 2024
- Autres publications
Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
8 résultats
Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
Une analyse qualitative, sous la responsabilité scientifique d’un enseignant-chercheur de l’Université Paris-Est Créteil, visant à interroger la logique de construction et de mise en œuvre de dispositifs d’accompagnement et de formation à destination de réfugiés.
En 1992, plus de 90 000 personnes âgées de 50 ans et plus ont bénéficié d'une des mesures de la politique de l'emploi offertes à des publics adultes, soit près des 7 % de l'ensemble des bénéficiaires.
Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à l'ANPE et âgés de plus de 50 ans, est passé de 336 000 fin décembre 1982 à 367 000 fin décembre 1992, soit une augmentation de 9,1 % à comparer à celle de l'ensemble des DEFM : + 43,7 %.
Le " modèle français " est actuellement celui d'une division du travail entre générations, où la collectivité prend en charge les jeunes et les travailleurs âgés lorsqu'ils sont exclus du système productif.
Les salariés étrangers sont 738 000, soit une augmentation de 4,8 % par rapport à 1988 où ils étaient 703 000. Leur nombre demeure toutefois nettement inférieur à celui de 1985, qui s'élevait à 788 000.
Fin 1992, 175 700 bénéficiaires de préretraites de 55 à 59 ans étaient indemnisés par l'Unedic pour le compte de l'Etat (FNE). Au cours de l'année, 50 300 d'entre eux sont entrés dans les dispositifs généraux de préretraite.
Avoir ou non l'allocation d'insertion ne serait ni un atout ni un handicap majeur pour la reprise d'emploi. Au moment de l'enquête en juillet 1992, près d'un jeune sur cinq est sorti de l'ANPE pour prendre un emploi qu'il ait bénéficié ou non de l'allocation d'insertion.