Intégration professionnelle des réfugiés
- Le 20 novembre 2019
Comment les dimensions emploi et formation professionnelle sont-elles prises en compte dans les politiques locales d’accueil et d’intégration des réfugiés ?
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Comment les dimensions emploi et formation professionnelle sont-elles prises en compte dans les politiques locales d’accueil et d’intégration des réfugiés ?
En 2017, 489 100 travailleurs handicapés sont employés dans les 103 700 établissements assujettis à l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés (OETH).
Les entrées de personnes handicapées dans ces dispositifs de formation concernent un peu plus les hommes et nettement moins les jeunes adultes.
En 2016, 459 100 travailleurs handicapés sont employés dans les 102 100 établissements assujettis à l’obligation d’emploi de travailleurs handicapés (OETH).
Ces donnes présentent le nombre de jeunes de moins de 26 ans présents au 31 décembre de chaque année, depuis 1974, dans les différents contrats aidés (apprentissage, contrats de professionnalisation, contrats de qualification, CUI-CIE, emplois d'avenir marchands etc.).
Selon l’enquête « Elipa » de 2010, 13 % des immigrés ayant obtenu un premier titre de séjour d’au moins un an en 2009 sont des réfugiés.
Il est plus difficile pour les immigrés que pour les natifs de trouver un emploi dans leur pays d’accueil.
La sociabilité hors du groupe d’origine est un vecteur important d’intégration à la société d’accueil pour les populations d’origine étrangère.
Selon l’enquête « Elipa » de 2010, les personnes ayant obtenu un premier titre de séjour d’au moins un an ont connu des changements de positions socioprofessionnelles importants après leur arrivée en France.
Moins souvent en emploi et davantage touchées par le chômage, les personnes résidant en zones urbaines sensibles (ZUS) sont souvent confrontées à d’importantes difficultés d’insertion sur le marché du travail.