La mobilité sociale des descendants d’immigrés
- 5 octobre 2015
- Dares Analyses N°072
Un cinquième des descendants d’immigrés de 18 à 50 ans se déclarent salariés du secteur public, un tiers parmi ceux qui ont un diplôme de niveau bac+3.
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Un cinquième des descendants d’immigrés de 18 à 50 ans se déclarent salariés du secteur public, un tiers parmi ceux qui ont un diplôme de niveau bac+3.
La stratégie Europe 2020 vise à faire de l’Union européenne une économie intelligente, durable et inclusive avec des niveaux d’emploi, de productivité et de cohésion sociale élevés.
En 2013, 161 000 salariés ou anciens salariés du secteur privé de 55 ans ou plus sont entrés dans un dispositif public de cessation anticipée d’activité, en forte progression par rapport à 2012 (+54 %).
En 2013, près de la moitié des personnes âgées de 55 à 64 ans résidant en France métropolitaine sont actives : 45,6 % sont en emploi et 3,4 % au chômage, soit un taux de chômage de 7,0 %.
Au cours de l’année 1999, 70 500 personnes ont adhéré à un dispositif de préretraite et l’Unédic dénombrait 202 600 allocataires indemnisés au titre de l’allocation spéciale du Fonds National de l’Emploi (ASFNE), de la préretraite progressive ou de l’allocation de remplacement pour l’emploi (ARPE) en fin d’année.
En 2000, avec un taux de chômage d’environ 30%, le risque de chômage est notablement plus élevé pour les étrangers ressortissants de pays non européens, et la sortie du chômage est également plus difficile pour eux.
Début 2000, un million d’étrangers âgés de 20 à 60 ans sont salariés du secteur privé.