Les compétences au service des personnes en recherche d'emploi
- Le 18 décembre 2019
11 résultats
Elles ont augmenté de 3,4 % en euros constants par rapport à 2016 dans un contexte de croissance économique forte (+2,2 %) et de hausse des créations d’emplois dans le secteur marchand (+55 % par rapport à 2016).
29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
Les « dépenses ciblées » s’élèvent à 67 Md€ en 2016, soit 3 points de PIB, et progressent de 2,5 % en euros constants (après +0,8 % en 2015).
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1993 à 289 milliards de francs, soit une progression de 8 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépense d'indemnisation du chômage en hausse de 5 % en représentent 43 %.
Les années 1992 et 1993 ont été particulièrement défavorables en matière d'emploi, 450 000 suppressions en deux ans se traduisant par 650 000 chômeurs supplémentaires.
Au cours de l'année 1993, 2,2 millions de personnes ont bénéficié d'une des mesures de la politique de l'emploi, soit 12 % de plus qu'en 1992. Cette augmentation recouvre cependant des évolutions contrastées entre les deux semestres.
En 1993, les employeurs du secteur non marchand ont signé 660 000 contrats emploi-solidarité dont 439 000 nouveaux contrats et 221 000 avenants de reconduction, avec principalement des jeunes en difficulté ou des adultes chômeurs de longue durée.
En 1992, 40 % des établissements de 50 salariés ou plus ont créé des emplois supplémentaires ; ils étaient 53 % en 1989.
La dépense pour l'emploi et la formation professionnelle est estimée en 1992 à 262 milliards de francs, soit une augmentation de 7,5 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépenses d'indemnisation du chômage représentent près de 44 %.