Les salariés licenciés pour motif économique
- 9 janvier 2020
- Dares Analyses N°001
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Elles ont augmenté de 3,4 % en euros constants par rapport à 2016 dans un contexte de croissance économique forte (+2,2 %) et de hausse des créations d’emplois dans le secteur marchand (+55 % par rapport à 2016).
Les « dépenses ciblées » s’élèvent à 67 Md€ en 2016, soit 3 points de PIB, et progressent de 2,5 % en euros constants (après +0,8 % en 2015).
Dans ce cadre, le Cnefop et la Dares ont travaillé à l’élaboration des « Dépenses nationales et régionales pour l’emploi, la formation et l’orientation professionnelles ».
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail s’élèvent à 122 milliards d’euros (Md€) en 2015, soit 5,6 points de PIB.
18 mois après leur inscription à Pôle emploi, 53 % des salariés licenciés pour motif économique entrés en contrat de sécurisation professionnelle (CSP) en avril ou mai 2014 occupent un emploi salarié ou ont créé une entreprise.
Légère hausse des dépenses d’indemnisation du chômage.
Les entreprises de 1 à 9 salariés regroupent 20 % de l’emploi salarié concurrentiel. Au 31 décembre 2014, elles emploient en moyenne 3 salariés, mais 36 % ne comptent qu’un seul salarié.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail, ciblées ou générales, sont estimées à 85,7 milliards d’euros (Md€) en 2012, soit 4,1 points de PIB.
Les entreprises de 1 à 9 salariés regroupent 20 % de l’emploi salarié concurrentiel. Fin 2013, elles emploient en moyenne 2,9 salariés, mais plus d’un tiers ne comptent qu’un seul salarié.