Les contrats uniques d'insertion et les emplois d’avenir. Une forte baisse des recrutements en 2017
- 29 novembre 2018
- Dares Résultats N°054
15 résultats
Ces donnes présentent le nombre de jeunes de moins de 26 ans présents au 31 décembre de chaque année, depuis 1974, dans les différents contrats aidés (apprentissage, contrats de professionnalisation, contrats de qualification, CUI-CIE, emplois d'avenir marchands etc.).
Les structures du secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) sont spécialisées dans l’accueil des personnes en difficulté auxquelles elles proposent un emploi associé à un accompagnement social et professionnel personnalisé.
Dans ce cadre, le Cnefop et la Dares ont travaillé à l’élaboration des « Dépenses nationales et régionales pour l’emploi, la formation et l’orientation professionnelles ».
Les entreprises d’insertion (EI) et les entreprises de travail temporaire d’insertion (ETTI), comme les autres structures du secteur de l’insertion par l’activité économique, ont une mission d’insertion de personnes en difficulté et une nécessité de viabilité économique.
Au cours de l’année 2005, 127 000 Contrats Initiative Emploi ont été signés, dont près de 88 000 au titre du nouveau dispositif issu de la loi de cohésion sociale.
121 000 contrats emploi-solidarité ont été signés en 2005, à 80 % au cours des quatre premiers mois de l’année.
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.
En 2004, plus de 2 000 structures d’insertion par l’activité économique étaient en activité : entreprises d’insertion, entreprises de travail temporaire d’insertion et associations intermédiaires
En 2004, 2 500 embauches ont ouvert droit à une exonération au titre des zones de redynamisation urbaine (ZRU).