Les bénéficiaires des politiques de l'emploi dans les zones urbaines sensibles en 2002
- 26 août 2004
- Dares Analyses N°35.2
Plus de jeunes, moins de diplômés et plus de RMIstes qu'ailleurs.
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Plus de jeunes, moins de diplômés et plus de RMIstes qu'ailleurs.
En 2002, 388 000 jeunes ont été accueillis pour la première fois dans le réseau des missions locales (ML) et PAIO (Permanences d'Accueil, d'Information et d'Orientation), soit 5 % de plus qu'en 2001.
Reprise soutenue de la productivité et croissance des salaires.
Le salarié à temps partiel type : une femme employée dans les services.
La reprise économique s'est confirmée au quatrième trimestre, le PIB progressant de +0,4 %.
Du point de vue du marché du travail, le troisième trimestre 1996 se situe tout à fait dans le prolongement des trois précédents : l'emploi salarié reste depuis un an pratiquement stable dans une contexte de faible croissance économique et le chômage continue à augmenter.
Le deuxième trimestre 1996 est marqué par un recul de l'activité économique. Dans ce contexte particulièrement défavorable, le niveau global de l'emploi salarié privé demeure stable.
La diversité des marchés locaux du travail dessine une géographie qui permet de mieux identifier les risques des territoires (ici les zones d'emploi) face au chômage.
Plus de 88 000 chômeurs ont bénéficié en 1995 du programme public d'aide à la création ou la reprise d'entreprise. Les bénéficiaires du revenu minimum d'insertion sont aussi plus nombreux qu'en 1994.
Destinés aux demandeurs d'emploi de longue durée et aux personnes en grande difficulté, les contrats emploi-solidarité et les stages d'insertion et de formation à l'emploi regroupent en moyenne près de 40 % des entrées dans l'ensemble des mesures de politique d'emploi.