Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail
- 20 mai 2022
- Annuelles
- Nationales
Ces séries présentent un suivi des dépenses générales, ciblées et à la lisière des politiques d’emploi.
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Ces séries présentent un suivi des dépenses générales, ciblées et à la lisière des politiques d’emploi.
L’objectif de cette nomenclature est de collecter des données sur les dépenses et les bénéficiaires des politiques du marché du travail mises en œuvre par les différents États membres pour lutter contre le chômage.
La Dares a réalisé une étude pour la réunion du Conseil d'orientation des retraites du 27 janvier 2022 dédiée à la question de l'âge de la retraite.
Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 33,1 milliards d’euros en 2006 :
Depuis le 1er mai, le plan d'emploi des jeunes a permis l'embauche ou l'accueil en entreprise de 718 738 jeunes au total, dont 132 426 au cours du mois de novembre 1986. Le flux d'embauche du mois de novembre est chaque année en retrait de 25 % par rapport au mois d'octobre
Le plan d'emploi des jeunes a permis l'embauche ou l'accueil en entreprise de 189 119 jeunes au cours du mois d'octobre, ce qui porte le total depuis le 1er mai à 586 312. Fin octobre, 174 189 stagiaires TUC ont été rémunérés.
En septembre, 168 430 jeunes ont été embauchés ou accueillis en entreprise grâce au plan pour l'emploi des jeunes. Depuis le 1er mai, ils sont donc 397 193.
En 1985, elle atteint 171,5 milliards de francs, soit une augmentation de 13,1 % en francs courants et de 6,9 % en francs constants par rapport à 1984. Sur ces trois dernières années, la Dépense pour l'emploi représente une masse équivalente à un peu plus de 3,5 % du PIB.
L'ensemble des mesures de formation en alternance (apprentissage, contrats d'adaptation ou de qualification et stages d'initiation à la vie professionnelle) a permis l'embauche de 32 079 jeunes en août au lieu de 36 152 en juillet.