Des embauches de plus en plus nombreuses de 1996 à 2000
- 15 juillet 2002
- Dares Résultats N°28.3
Une progression des embauches de 40 % entre 1996 et 2000.
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Une progression des embauches de 40 % entre 1996 et 2000.
La croissance économique est à nouveau positive au premier trimestre 2002 et le secteur concurrentiel non agricole crée 37 000 emplois.
Des difficultés causées par l'absence de candidat pour le profil recherché ou par l'existence de fortes tensions dans la zone d'emploi de l'entreprise.
Les jeunes sont prédominants dans les embauches : ils sont plus nombreux à s'insérer sur le marché du travail et sont recherchés par les employeurs qui trouvent qu'ils s'adaptent plus ou que l'embauche de seniors ne permet pas d'équilibrer leur pyramide des âges.
Malgré le repli de l’emploi industriel, et alors même que le PIB du secteur concurrentiel diminuait, le dynamisme du secteur tertiaire et, dans une moindre mesure, celui de la construction, ont conduit à la création de 50 000 nouveaux emplois au quatrième trimestre 2001.
Malgré un rythme ralenti comparé au dynamisme de l'année 2000, l'emploi salarié dans le secteur concurrentiel continue de progresser au troisième trimestre 2001 (+29 000 postes).
Le troisième trimestre 1998 est toujours bien orienté en matière d’évolution du marché du travail, même si les rythmes de création d’emplois et de baisse de chômage semblent se ralentir quelque peu par rapport aux trimestres précédents.
En 1998, quatre enquêtes simultanées auprès des établissements utilisateurs de dispositifs de la politique de l’emploi permettent de mieux cerner les logiques d’utilisation de l’apprentissage, du contrat de qualification, du contrat initiative emploi et de l’exonération pour l’embauche d’un premier salarié.
En dépit d’un léger ralentissement des créations d’emplois, le second trimestre 1998 reste bien orienté du point de vue de l’évolution de la situation du marché du travail.
En 1996, le suivi d’une cohorte de chômeurs dans huit zones d’emploi montre que si l’âge, la qualification et le sexe demeurent fortement discriminants dans le processus d’insertion ou de réinsertion professionnelle, l’importance de ces facteurs varie selon le marché local de l’emploi.