Les contrats uniques d'insertion et les emplois d’avenir. Une forte baisse des recrutements en 2017
- 29 novembre 2018
- Dares Résultats N°054
12 résultats
Ces donnes présentent le nombre de jeunes de moins de 26 ans présents au 31 décembre de chaque année, depuis 1974, dans les différents contrats aidés (apprentissage, contrats de professionnalisation, contrats de qualification, CUI-CIE, emplois d'avenir marchands etc.).
Lors des Rendez-vous de Grenelle du 11 septembre 2018, Selma Mahfouz, directrice de la Dares, a présenté un focus sur le recours aux contrats temporaires (CDD, intérim) en 2017.
Les structures du secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) sont spécialisées dans l’accueil des personnes en difficulté auxquelles elles proposent un emploi associé à un accompagnement social et professionnel personnalisé.
Dans ce cadre, le Cnefop et la Dares ont travaillé à l’élaboration des « Dépenses nationales et régionales pour l’emploi, la formation et l’orientation professionnelles ».
Les entreprises d’insertion (EI) et les entreprises de travail temporaire d’insertion (ETTI), comme les autres structures du secteur de l’insertion par l’activité économique, ont une mission d’insertion de personnes en difficulté et une nécessité de viabilité économique.
L’année 1999 est celle de la mise en application de la réforme de l’insertion par l’activité économique, engagée par la loi d’orientation relative à la lutte contre les exclusions.
Au 1er semestre 2000, le volume des offres d’emploi déposées à l’ANPE a continué à croître (+ 10 % par rapport au 1er semestre 1999), tandis que la baisse du nombre de demandes des catégories 1+2+3 s’est poursuivie (-13 % entre juin 1999 et juin 2000).
En 1998, plus de 45 000 prestataires ont exercé une activité de formation, dont 7 600 à titre principal.