L’insertion par l’activité économique en 2016
- 15 novembre 2017
- Dares Résultats N°074
Fin 2016, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) comptait un peu plus de 132 000 salariés, un nombre quasi stable par rapport à 2015.
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Fin 2016, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) comptait un peu plus de 132 000 salariés, un nombre quasi stable par rapport à 2015.
Les dépenses en faveur de l’emploi et du marché du travail s’élèvent à 122 milliards d’euros (Md€) en 2015, soit 5,6 points de PIB.
Cet article décrit la manière dont les bénéficiaires d’un dispositif particulier de politique de l’emploi, l’insertion par l’activité économique (IAE), sont accompagnés et formés durant leur parcours et leur ressenti objectif et subjectif sur ce parcours.
Cette enquête mesure annuellement les conditions d'emploi, l’impact du Smic, l’épargne salariale et les emplois vacants dans les entreprises de 1 à 9 salariés. Depuis 2007, elle donne des informations sur les dispositifs d’épargne salariale.
Comment des entreprises sociales particulières, les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE), remplissent-elles leur mission d’accompagnement et de réinsertion de publics en difficulté tout en réalisant une activité de production au sein d’un environnement économique plus ou moins concurrentiel ?
Du milieu des années soixante-dix jusqu’à ces dernières années quatre-vingt-dix, la croissance du PIB en France a été non seulement ralentie mais également marquée par d’importantes fluctuations conjoncturelles.
Avec 139,9 milliards de francs, la dépense pour la formation professionnelle augmente pour la seconde année consécutive.
En 1998, 196 000 personnes ont été embauchées dans le cadre de contrats initiative emploi, contre 212 000 en 1997 et 290 000 en 1996.
La dépense pour l’emploi est estimée pour 1997 à 318 milliards de francs, soit une hausse de 2,3 % en francs constants, moins marquée que celle de l’année précédente.
L’année 1998 a été marquée par un redéploiement des mesures d’aide à l’emploi dans le secteur non marchand avec la montée en charge du programme « nouveaux services - emplois jeunes ».