Conjoncture de l'emploi et du chômage au 3e trimestre 2005
- 27 décembre 2005
- Dares Indicateurs N°52.2
Au 3e trimestre de 2005, l’activité économique rebondit à +0,7 %.
10 résultats
Au 3e trimestre de 2005, l’activité économique rebondit à +0,7 %.
En 2004, 65 000 chômeurs ont créé leur entreprise en mobilisant le dispositif d’aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprise (ACCRE), une progression de plus de 40 % par rapport à 2003 et un doublement en deux ans.
La croissance économique s’affaiblit au 2e trimestre de 2005 (+0,1 %),en raison notamment d’un tassement de la demande interne.
En 2003, 72 000 résidents en zone urbaine sensible (ZUS) ont accédé à un contrat aidé hors alternance, soit 13 % du total des entrants en France métropolitaine.
Au 1er trimestre de 2005, l’activité économique ralentit à +0,2 % (+1,7 % en glissement annuel).
Au 4e trimestre 2004, la croissance reprend son cours (+0,8 %) après sa faiblesse du trimestre précédent.
Au 3e trimestre de 2004, la croissance a connu une faiblesse (+0,1%) qui ne paraît pas remettre en cause le processus de reprise, dont l’emploi salarié des secteurs marchands continue de profiter modestement avec +8 000 postes créés.
La dépense pour l'emploi (DPE) recense les efforts consentis par la collectivité nationale pour J'emploi et la formation. Cet effort représente 217 milliards de francs en 1990, en hausse de 4,1% en francs constants par rapport à 1989.
Au cours de l'année 1990, 1,45 million de personnes ont été embauchées ou sont entrées en stage grâce à l'un des dispositifs de la politique de l'emploi.
Le ralentissement conjoncturel que connaît l'économie française depuis la mi-89, s'est traduit en 1990 par un ralentissement des créations d'emploi : 225 800 après plus de 300 000 en 1989 pour les salariés des secteurs marchands non agricoles.