Le coût de la politique de l'emploi en 2005
- 3 août 2007
- Dares Résultats N°32.2
Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 30,4 milliards d’euros en 2005.
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Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 30,4 milliards d’euros en 2005.
4,5 % des salariés interrogés dans le cadre de l’enquête Sumer 2003 ont eu au moins un accident du travail ayant occasionné un arrêt de travail au cours des douze mois précédant l’enquête. Les hommes, les jeunes, les ouvriers sont les plus touchés.
En juin 2005, 41,5 % des salariés des TPE étaient employés à temps partiel, sur un contrat à durée déterminée ou bénéficiant d’une aide ciblée de l’État.
En 2003, près de trois salariés sur quatre travaillent en contact avec le public, de vive voix ou par téléphone.
Entre 1998 et 2005, l’intensification du travail semble avoir connu une pause.
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1993 à 289 milliards de francs, soit une progression de 8 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépense d'indemnisation du chômage en hausse de 5 % en représentent 43 %.
En 1993, les employeurs du secteur non marchand ont signé 660 000 contrats emploi-solidarité dont 439 000 nouveaux contrats et 221 000 avenants de reconduction, avec principalement des jeunes en difficulté ou des adultes chômeurs de longue durée.
Au début de la décennie soixante-dix, l'attention se focalise sur les conditions de travail, en particulier celles des ouvriers spécialisés (OS).
La dépense pour l'emploi et la formation professionnelle est estimée en 1992 à 262 milliards de francs, soit une augmentation de 7,5 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépenses d'indemnisation du chômage représentent près de 44 %.
Sans aborder le problème de l'évaluation, sont comparées ici les expériences de quatre pays européens en matière de recours aux subventions, de la seconde moitié des années soixante-dix à la fin des années quatre-vingt : la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la Suède.