La négociation salariale d'entreprise de 2004 à 2010
- 2 septembre 2014
- Dares Analyses N°067
En 2010, les discussions ou négociations salariales ont concerné un peu plus de la moitié des établissements de 20 salariés ou plus.
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En 2010, les discussions ou négociations salariales ont concerné un peu plus de la moitié des établissements de 20 salariés ou plus.
Moins d’un travailleur sur dix en France est aujourd’hui non-salarié. Cette situation est le résultat de mutations économiques profondes ayant affecté le non-salariat, qui a vu ses effectifs divisés par deux depuis le début des années 1970.
En 2005, 2 380 embauches ont ouvert droit à une exonération au titre des Zones de Redynamisation Urbaine (ZRU).
Au deuxième trimestre 2007, l’emploi salarié du secteur concurrentiel progresse de +59 900 postes (+0,3 %), après +123 500 (+0,7 %) au premier trimestre 2007.
La conjoncture de l’emploi est appréhendée à un rythme mensuel par cinq indicateurs publiés par la Dares (Premières Informations) et l’Insee (Informations Rapides).
12,7 milliards d’euros ont été distribués en 2004 au titre de la participation, de l’intéressement et de l’abondement à un plan d’épargne entreprise.
La négociation s’est fortement développée dans les entreprises au cours de la dernière décennie : de la réduction du temps de travail à l’épargne salariale, les discussions entre représentants de la direction et représentants du personnel se sont multipliées.
Au deuxième trimestre 2006, l’emploi salarié du secteur principalement marchand, augmente de +53 600 postes (+0,3 %), après +27 600 (+0,2 %) au trimestre précédent.
En 2005, 1 270 plans de sauvegarde de l’emploi ont été notifiés, après 1 250 en 2004.