Conjoncture de l'emploi et du chômage au 2e trimestre 2005
- 28 octobre 2005
- Dares Indicateurs N°43.2
La croissance économique s’affaiblit au 2e trimestre de 2005 (+0,1 %),en raison notamment d’un tassement de la demande interne.
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La croissance économique s’affaiblit au 2e trimestre de 2005 (+0,1 %),en raison notamment d’un tassement de la demande interne.
Au cours du premier semestre 2005, les flux d’offres d’emplois déposées à l’ANPE par les employeurs continuent de s’accroître pour atteindre un niveau record supérieur à ceux observés durant l’année 2000.
Au total, si on additionne l'intérim et l'ensemble hors intérim, on peut obtenir un indicateur de l'emploi salarié dans l'ensemble des secteurs principalement marchands.
En septembre 1993, 7,8 % des ouvriers ont bénéficié d'une augmentation de salaire (données CVS) : c'est la proportion la plus faible enregistrée depuis octobre 1986. Malgré un rebond observé en août 1993, elle s'inscrit dans la phase de décroissance de la part d'ouvriers augmentés amorcée en juin 1993.
Au cours du premier trimestre 1993, le taux d'entrée dans les établissements de 50 salariés et plus baisse de 0,4 point et atteint 6,0 % (en données corrigées des variations saisonnières) : la baisse des recrutements s'est accélérée sur les six derniers mois.
Le " modèle français " est actuellement celui d'une division du travail entre générations, où la collectivité prend en charge les jeunes et les travailleurs âgés lorsqu'ils sont exclus du système productif.
La dépense totale consacrée par la Nation (Etat, collectivités territoriales, entreprises et ménages) à la formation professionnelle est passée de 71 à 111 milliards de Francs entre 1987 et 1991, atteignant 1,7 % du PIB.