Coût de la main-d’œuvre et la structure des salaires
- 24 octobre 2019
Cette enquête vise à évaluer les dépenses engagées par les entreprises au titre de leurs salariés.
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Cette enquête vise à évaluer les dépenses engagées par les entreprises au titre de leurs salariés.
Les contraintes organisationnelles et relationnelles regroupent les caractéristiques du temps de travail, les contraintes de rythme de travail, l’autonomie et les marges d’initiative, le collectif de travail et les contacts avec le public.
En 2014, 4,2 millions de salariés, soit 18 % d’entre eux, ont travaillé au moins un dimanche sur une période d’observation de quatre semaines.
Au 1er janvier 2015, 1,7 million de salariés des entreprises du secteur concurrentiel (hors apprentis et intérimaires) ont été concernés par la revalorisation du Smic horaire, soit 11,1 % des salariés (après 10,8 % au 1er janvier 2014 et 12,3 % au 1er janvier 2013).
En 2011, 6,5 millions de salariés, soit 29 %, ont travaillé le dimanche, dont 3 millions (13 % des salariés) de manière habituelle.
En 2010, dans le secteur privé et les entreprises publiques, la rémunération brute mensuelle moyenne des salariés en équivalent-temps plein était de 2 764 euros (en hausse de +2,1 % après +1,0 % en 2009) et le salaire moyen net de tous prélèvements sociaux de 2 082 euros (+2,0 % après +1,3 % en 2009).
En 2011, sur 22,3 millions de salariés des secteurs privé et public, 3,6 millions, soit près d’1 salarié sur 6, occupent un emploi à bas salaire, c’est-à-dire un emploi dont le salaire mensuel net est inférieur ou égal aux deux tiers du salaire mensuel net médian.
En septembre 1994, peu de salariés ont bénéficié d'une hausse de leur salaire de base. Les hausses accordées sont en moyenne faibles, mais le délai moyen entre deux augmentations est plus court que celui des mois précédents notamment pour les employés.