Les mouvements de main-d'oeuvre au 2e trimestre 2011
- 12 octobre 2011
- Dares Indicateurs N°78
Le taux d’entrée dans les établissements de 10 salariés ou plus continue de s’accroître. Il atteint son plus haut niveau sur ces dix dernières années.
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Le taux d’entrée dans les établissements de 10 salariés ou plus continue de s’accroître. Il atteint son plus haut niveau sur ces dix dernières années.
L’activité économique en France a stagné au 2ème trimestre, après avoir augmenté de 0,9 % en variation trimestrielle au trimestre précédent.
L’article montre que l’obtention de la certification qualité ISO 9001 s’accompagne en moyenne d’une diminution des accidents du travail et d’une hausse de la productivité, dans les entreprises de 200 salariés ou plus, mais pas dans les plus petites.
En 2010, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, a augmenté très sensiblement (47,8 %, soit +2,2 points), après s’être modestement infléchi en 2008 (-1,2 point) et modérément accru en 2009 (+0,3 point).
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,3 % des salariés travaillent à temps complet au 2ème trimestre 2011.
En septembre 1996, les proportions de salariés augmentés sont nettement supérieures à celles enregistrées les deux dernières année à la même date.
Au premier semestre 1996, les augmentations de salaire négociées au sein des branches professionnelles ou des entreprises sont un peu plus soutenues que celles des années précédentes, dans un environnement conjoncturel incertain.
La durée hebdomadaire du travail est stable par rapport au début du deuxième trimestre 1996. Elle s'établit, en moyenne, à 38,91 heures pour J'ensemble des salariés, à 38,82 heures pour les non-ouvriers et à 39,03 heures pour les ouvriers.
En octobre 1995, un salarié d'un petit établissement, de un à dix salariés, gagne en moyenne 10 780 francs en rémunération brute, soit 2,5 % de plus qu'en octobre 1994 (2,8 % pour les ouvriers, 1,9 % pour les cadres).
En 1995, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,8 % de leur rémunération sous forme de primes. Les primes mensuelles représentent 6,8 % de la rémunération totale (6,7 % en 1994). La part des primes non mensuelles augmente. Elle est de 8 % en 1995.