Revue Travail et Emploi - La discrimination syndicale en question : la situation en France - N° 145 (2016)
- 9 novembre 2016
- Revue Travail et Emploi N°145
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En 2013, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,2 milliards d’euros.
Les décisions sur les conditions et le temps de travail sont celles qui occasionnent le plus fréquemment des concertations collectives.
La loi du 1er mars 2013 portant création du contrat de génération incite les entreprises de 50 salariés et plus à négocier des accords collectifs, ou à défaut à établir des plans d’action, sur la situation des salariés jeunes et âgés.
En 2012, 16,2 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur marchand non agricole ont engagé des négociations collectives.
Au 2e trimestre 2014, pour les établissements de 10 salariés ou plus, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’établit à 14,7%. Il gagne 0,3 point par rapport au trimestre précédent et 1,1 point par rapport au 2e trimestre 2013.
Un tiers des établissements de 11 salariés et plus ont discuté ou négocié sur le temps de travail durant la période 2008-2010, selon la dernière édition de l’enquête REPONSE.
15 % des jeunes sortis du système scolaire en 2004 sont passés par un contrat d’apprentissage.
Au premier trimestre 2010, le taux de rotation, moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’infléchit légèrement à 10,9 %, après une augmentation sensible le trimestre précédent.
Le présent guide a pour objectif de décrire le contenu du compte national de la dépense pour la formation professionnelle continue et de l’apprentissage et d’expliquer les méthodes et choix indispensables à sa construction.