Revue Travail et Emploi - La discrimination syndicale en question : la situation en France - N° 145 (2016)
- 9 novembre 2016
- Revue Travail et Emploi N°145
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Les décisions sur les conditions et le temps de travail sont celles qui occasionnent le plus fréquemment des concertations collectives.
Dans les entreprises de dix salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de +0,3 % au troisième trimestre 2010 et de +1,7 % sur un an.
Dans l’ensemble des entreprises des secteurs principalement marchands hors agriculture, les effectifs salariés augmentent de 0,2 % sur le troisième trimestre 2007 et de 1,6 % sur un an.
Les effectifs salariés dans les secteurs principalement marchands (1) progressent de 0,1 % sur le troisième trimestre 2006 et de 0,9 % sur un an. La durée hebdomadaire collective moyenne du travail est de 35,6 heures à la fin du mois de septembre 2006.
La couverture conventionnelle globale a fortement progressé entre 1997 et 2004, passant de 93,7 % à 97,7 % des salariés du secteur concurrentiel non agricole.
Quels sont les effets de la réduction du temps de travail sur les modes de vie ? Quelles sont les transformations intervenues dans la vie des salariés à la fois au travail et en dehors du travail (organisation domestique, vie familiale, vie sociale, loisirs…) ?
Selon l’enquête trimestrielle Acemo, la durée collective du travail des salariés à temps complet des entreprises de 10 salariés ou plus a baissé de 4,3 % entre juin 1999 et juin 2000.
Les effectifs salariés augmentent de 0,8% au cours du troisième trimestre 2000 dans les secteurs concurrentiels. Sur un an, la progression est de 3,5%.
Sur les 39 500 entreprises ayant signé un accord de passage à 35 heures à ce jour, 23 000 l’ont fait avec l’aide de l’État entre juin 1998 et juillet 2000 avec une réduction du temps de travail pour 1,4 million de salariés et une perspective de 115 000 emplois créés ou maintenus.