Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
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Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,2 % au 3e trimestre 2013 et de 1,6 % sur un an.
En 2011, 56,5 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,0 % des salariés travaillent à temps complet fin juin 2013.
Au 2e trimestre 2013, l’indicateur de tension sur le marché du travail, qui rapporte les offres d’emploi collectées par Pôle emploi aux entrées à Pôle emploi, est en baisse (-4 % ce trimestre) après avoir diminué au trimestre précédent.
En 1997, environ un salarié sur six, soit 2,8 millions de personnes, occupent des emplois à bas salaire (salaires inférieurs ou égaux aux 2/3 du salaire médian).
La durée hebdomadaire effective du travail reste stable par rapport au début du troisième trimestre 1997. Elle s'établit, en moyenne, à 38,87 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,80 heures pour les non-ouvriers et à 38,96 heures pour les ouvriers.
Pour la première fois depuis trois ans, on enregistre en 1996 une légère augmentation du nombre des demandes de licenciement de représentants du personnel, de l'ordre de 4 %. Le nombre de recours hiérarchiques, et celui des décisions ministérielles, ont augmenté d'autant.
La manutention manuelle de charges est une contrainte physique fréquente : elle touche près de quatre salariés et six ouvriers sur dix. Cependant, pour les deux tiers des salariés exposés, il s'agit seulement d'une tâche occasionnelle.
En 1996, les entreprises, notamment les PME, ont mois souvent augmenté leurs salariés, et les augmentations accordées ont généralement été plus faibles qu'en 1995.