Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
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Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,2 % au 3e trimestre 2013 et de 1,6 % sur un an.
En 2011, 56,5 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
En octobre 1994, peu de salariés ont bénéficié d'une hausse de leur salaire de base. La proportion d'employés augmentés en octobre est la plus faible depuis le début de l'année, mais elle est supérieure à celle d'octobre 1993.
La durée hebdomadaire effective du travail est stable par rapport au début du troisième trimestre 1994 ; elle s'établit à 38,96 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,85 heures pour les non-ouvriers et à 39,08 heures pour les ouvriers.
En avril 1994, le gain moyen mensuel brut d'un salarié, primes mensuelles comprises, s'élève à 11 129 F. D'octobre 1993 à avril 1994, le gain moyen mensuel brut a augmenté de 1 %.
La situation économique s'est progressivement améliorée en France depuis le printemps 1993 et la reprise économique s'est affirmée au début de 1994 : le PIB a progressé de + 1,7 % au premier semestre.
En septembre 1994, peu de salariés ont bénéficié d'une hausse de leur salaire de base. Les hausses accordées sont en moyenne faibles, mais le délai moyen entre deux augmentations est plus court que celui des mois précédents notamment pour les employés.