Les jeunes en emploi d’avenir
- 5 octobre 2016
- Dares Analyses N°056
Un effort de formation qui bénéficie plus particulièrement aux non-diplômés et aux plus jeunes.
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Un effort de formation qui bénéficie plus particulièrement aux non-diplômés et aux plus jeunes.
Trois quarts des jeunes embauchés début 1999 en emploi-jeune dans une collectivité locale, un établissement public ou une association et restés au moins deux années en poste ont occupé un emploi immédiatement après leur sortie du dispositif.
En 2003, l’activité des organismes de formation continue reste soutenue : leur chiffre d’affaires progresse de 10 % et le nombre de stagiaires de 9 %. Les entreprises et les pouvoirs publics apportent deux tiers des financements.
La dépense globale de la Nation en faveur de la formation professionnelle continue et l’apprentissage a augmenté de 1,8 % en 2003.
Plus d’un million de jeunes de 16 à 25 ans ont été accueillis en 2004, dont plus de 440 000 pour la première fois.
Au cours du premier semestre 2005, les flux d’offres d’emplois déposées à l’ANPE par les employeurs continuent de s’accroître pour atteindre un niveau record supérieur à ceux observés durant l’année 2000.
En 2002, l’effort de la nation en matière de formation professionnelle et d’apprentissage s’amenuise encore : avec 1,43 % de la richesse nationale, il retrouve un niveau proche de celui de 1988.
Les jeunes qui ont terminé leurs études depuis au plus dix années se répartissent très inégalement dans les différents secteurs du tertiaire.
Trois ans après leur entrée dans le programme « Nouveaux services - Emplois jeunes », neuf jeunes sur dix estiment y avoir acquis des compétences professionnelles.
Au 1er semestre 2003 les tensions continuent à se réduire sous l'effet conjugué de la réduction des flux d'offres enregistrées (-4 % entre les 1er semestre 2002 et 2003) et de la croissance des flux de demandeurs inscrits à l'ANPE (+7 % sur la même période).