Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
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Six mois après la fin de l’aide de l’État associée à leur contrat, 70 % des salariés sortis en 2011 d’un contrat aidé du secteur marchand sont en emploi (comme en 2010).
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,2 % au 3e trimestre 2013 et de 1,6 % sur un an.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 83,9 % des salariés travaillent à temps complet fin 2012.
Fin 2008 et fin 2009, la Dares a mené une enquête auprès de demandeurs d’emploi entrés ou non dans l’un des quatre contrats aidés issus de la loi de cohésion sociale (CIE, CI-RMA, CAE, CAV) et leur a, à cette occasion, demandé ce qu’ils pensaient de ces dispositifs.
En 1997, environ un salarié sur six, soit 2,8 millions de personnes, occupent des emplois à bas salaire (salaires inférieurs ou égaux aux 2/3 du salaire médian).
La durée hebdomadaire effective du travail reste stable par rapport au début du troisième trimestre 1997. Elle s'établit, en moyenne, à 38,87 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,80 heures pour les non-ouvriers et à 38,96 heures pour les ouvriers.
La durée hebdomadaire du travail est en légère baisse par rapport au début du quatrième trimestre 1996. Elle s'établit, en moyenne, à 38,90 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,84 heures pour les non-ouvriers et à 39,00 heures pour les ouvriers.
En janvier 1997, les augmentations accordées sont nettement plus élevées qu'en décembre 1996, mais légèrement inférieures à celles observées en janvier 1996 ou 1995. Les ouvriers et les employés ont été moins nombreux à bénéficier d'une hausse de leur salaire de base.