Horaires atypiques et contraintes dans le travail
- 25 mai 2009
- Dares Analyses N° 22.2
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
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Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
En 2006, dans les entreprises du secteur concurrentiel, un salarié sur six perçoit un bas salaire, c’est-à-dire un salaire brut mensuel inférieur aux deux tiers du salaire médian.
Dans l’ensemble des entreprises des secteurs principalement marchands hors agriculture (1), les effectifs salariés diminuent de 0,9 % sur le premier trimestre 2009 et de 2,0 % sur un an.
Dans l’ensemble des entreprises des secteurs principalement marchands hors agriculture, les effectifs salariés progressent de 0,6 % sur le premier trimestre 2007 et de 1,4 % sur un an.
En 2001, dans les établissements de 10 salariés ou plus des activités marchandes non agricoles, le gain brut mensuel moyen d'un salarié à temps complet s'élevait à 2230 euros, soit 2,6 % de plus qu'en 2000.
Les effectifs salariés reculent de 0,3 % au cours du premier trimestre 2003 dans les secteurs concurrentiels. Sur un an, ils progressent de + 0,1 %.
La durée hebdomadaire effective du travail reste stable par rapport au trimestre précédent. Elle s'établit à 38,97 heures pour l'ensemble des salariés, augmentant légèrement (38,86 heures) pour les non-ouvriers et baissant un peu (39,09 heures) pour les ouvriers.
200 000 personnes environ ont bénéficié d'un stage " AIF " en 1991. Près des trois-quarts sont des chômeurs de longue durée ou des chômeurs " récurrents " (au moins de 12 mois de chômage au cours des 18 derniers mois) ; un sur cinq est allocataire du RMI.