Évolution des salaires de base et conditions d’emploi dans le secteur privé : résultats provisoires du 1er trimestre 2021
- 7 mai 2021
- Dares Indicateurs N°19
L’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,5 % au 1er trimestre 2021.
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L’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,5 % au 1er trimestre 2021.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble du secteur privé hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,7 % au 1er trimestre 2018.
Cette appariment, réalisé par l'Insee, renseigne sur le type d'emploi et la rémunération pour chaque salarié.
Au cours de l’année 2014, dans un contexte de modération de l’activité de négociation salariale de branche, le salaire mensuel de base (SMB) des salariés des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel progresse de 1,4 % en glissement annuel, après +1,6 % en 2013.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,5 % au 1er trimestre 2015 et de 1,3 % sur un an.
Depuis le début de la crise économique fin 2008, le salaire mensuel brut de base (SMB) a sensiblement ralenti dans les entreprises de 10 salariés ou plus des 247 principales branches professionnelles du secteur concurrentiel.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,7 % au 1er trimestre 2013 et de 1,9 % sur un an.
Dans leurs négociations visant à revaloriser les bas salaires, les branches conventionnelles tendent en général à instaurer des salaires minima garantis plutôt qu'à refondre leur classification salariale.
La durée hebdomadaire effective du travail est en baisse chez les ouvriers par rapport au début du premier trimestre 1993 ; elle s'établit à 38,91 heures pour l'ensemble des salariés, reste stable à 38,85 heures pour les non-ouvriers et descend à 38,98 heures pour les ouvriers.
Les salariés au SMIC représentaient 8,6% de l'ensemble des salariés au 1er juillet 1992, proportion identique à celle relevée un an plus tôt. Cette stabilité s'explique en partie par la diminution des effets de la renégociation des bas salaires.