Faut-il accompagner davantage les jeunes à la recherche d’un contrat d’apprentissage ?
- 30 mai 2017
- Dares Analyses N°036
La mise en place de ce programme a permis d’augmenter significativement la proportion de jeunes en contrat d’apprentissage.
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La mise en place de ce programme a permis d’augmenter significativement la proportion de jeunes en contrat d’apprentissage.
Six mois après la fin de leur contrat, 51 % des jeunes entrés début 2013 en emploi d’avenir non marchand sont en emploi ; 46 % sont en emploi non aidé, 37 % en emploi durable. Par ailleurs, 5 % sont en formation.
Cet article décrit la manière dont les bénéficiaires d’un dispositif particulier de politique de l’emploi, l’insertion par l’activité économique (IAE), sont accompagnés et formés durant leur parcours et leur ressenti objectif et subjectif sur ce parcours.
En 2015, 53,3 % des jeunes âgés de 15 à 29 ans sont sur le marché du travail en France : 43,2 % occupent un emploi et 10,1 % sont au chômage, soit un taux de chômage de 18,9 %. 14,7 % des jeunes ne sont ni en emploi, ni en formation (part de « NEET »).
En moyenne sur l’année 2010, 47 % des jeunes âgés de 15 à 29 ans occupent un emploi et près de 10 % sont au chômage. Le taux de chômage des 15-29 ans s’établit ainsi à 17 %.
En 2009, 515 000 jeunes ont été accueilli pour la première fois en missions locales.
Entre 2007 et 2008, le nombre moyen de salariés en insertion travaillant dans les structures de l’insertion par l’activité économique a progressé de 5 %, passant de 107 000 à 112 000.
Plus d’un million de jeunes de 16 à 25 ans ont été accueillis en 2004, dont plus de 440 000 pour la première fois.
Les entrées en contrat aidé ont nettement augmenté entre 1995 et 1999. Par la suite, elles se sont moins repliées qu’en métropole.
Les Travaux d'Utilité Collective constituent aujourd'hui un volet important de la politique d'insertion des jeunes. L'objectif de ce programme est de permettre à un maximum de jeunes sans emploi une familiarisation avec la vie professionnelle.