L'intérim en 2008
- 30 juin 2009
- Dares Analyses N° 27.4
En 2008, le volume de travail temporaire se replie nettement par rapport à l’année précédente, pour la première fois depuis 2003.
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En 2008, le volume de travail temporaire se replie nettement par rapport à l’année précédente, pour la première fois depuis 2003.
À la fin du premier trimestre 2009, 435 900 salariés sont intérimaires. Comme au quatrième trimestre 2008, la baisse du nombre d’intérimaires est d’une ampleur exceptionnelle : -80 800 postes au premier trimestre 2009 (soit -15,6 %), après -79 500 (-13,3 %).
Entre août 2005 et juin 2008, le « contrat nouvelles embauches » (CNE) a constitué une nouvelle modalité de recrutement pour les entreprises ou associations comptant au plus vingt salariés.
Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi de catégorie A s’établit à 2 543 100 en France métropolitaine fin mai 2009. Ce nombre augmente par rapport à la fin avril 2009 (+1,5 %, soit +36 400). Sur un an, il croît de 26,4 %.
En 2007, le taux de rotation de la main-d’œuvre dans les établissements de 10 salariés ou plus augmente très nettement par rapport à 2006 et dépasse son précédent sommet de 2000 pour s’établir à 46 %.
Au premier trimestre 2009, l’emploi salarié concurrentiel diminue de -187 800 postes (-1,0 %), après -106 800 (-0,6 %) au quatrième trimestre 2008.
En mai, le nombre des demandeurs d'emploi en fin de mois (inscrits à l'ANPE, catégorie 1) s'élève à 3 141 200 en données corrigées des variations saisonnières (CVS), soit une hausse de 0,9 % par rapport à avril.
Face à la dégradation de l'emploi en 1992, les Français sont de plus en plus inquiets et pessimistes sur l'évolution du chômage : 87 % des personnes interrogées pensent que le nombre des chômeurs va encore augmenter pendant plusieurs années.
Au cours du premier trimestre 1993, la baisse des effectifs salariés se poursuit dans les secteurs marchands non agricoles (- 0,5 %). De mars 1992 à mars 1993, la diminution de l'emploi dans ces secteurs est de 1,4 % ; sur l'année 1992, elle est de 1%.
Avoir ou non l'allocation d'insertion ne serait ni un atout ni un handicap majeur pour la reprise d'emploi. Au moment de l'enquête en juillet 1992, près d'un jeune sur cinq est sorti de l'ANPE pour prendre un emploi qu'il ait bénéficié ou non de l'allocation d'insertion.