La conjoncture régionale
- 14 juin 2018
- Trimestrielles
- Régionales
20 résultats
En 2013, 127 600 salariés en insertion ont travaillé dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), en moyenne chaque mois.
44 % des personnes embauchées dans les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE) ont trouvé leur emploi par leurs propres moyens ou par le bouche à oreille.
Les objectifs régionaux d’embauches en contrats aidés sont très encadrés au niveau national, mais leur pilotage est largement territorialisé et leur mise en oeuvre est le fait des services déconcentrés du ministère chargé de l’emploi.
15 % mettent en avant le besoin d’un soutien financier et matériel visant à lever certains obstacles à la reprise d’emploi.
En 2006, 253 000 salariés en insertion ont été embauchés ou mis à disposition par une des 5 300 structures d’insertion par l’activité économique.
Au 31 décembre 2003, 13 % des allocataires du revenu minimum d’insertion et de l’allocation de solidarité spécifique en bénéficiaient.
Le deuxième contrat de progrès signé entre l’État et l’Afpa couvre les années 1999-2003, période où la conjoncture s’est retournée et où le paysage institutionnel s’est profondément transformé.
Les anciens salariés des EI se réinsèrent plus difficilement que ceux des AI ou ETTI, ils sont majoritairement au chômage au sortir de la structure.
À partir de 1999, la territorialisation s'élargit et devient une démarche stratégique des politiques de l'emploi.