Conjoncture de l'emploi et du chômage au 2e trimestre 2010
- 6 octobre 2010
- Dares Analyses N°066
L’activité économique a accéléré au 2e trimestre 2010 (+0,7 %, après +0,2 % au trimestre précédent).
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L’activité économique a accéléré au 2e trimestre 2010 (+0,7 %, après +0,2 % au trimestre précédent).
À la fin du premier trimestre 2010, 524 000 salariés sont intérimaires, soit +30 400 de plus qu’au trimestre précédent (+6,2 %).
En 2009, le salaire mensuel de base (SMB) de l’ensemble des salariés des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur marchand non agricole a augmenté de +1,9 % en glissement annuel, après +3,0 % en 2008.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,0 % des salariés travaillent à temps complet au premier trimestre 2010.
En 2009, le volume de travail temporaire diminue substantiellement par rapport à 2008 : on dénombre, sur l’ensemble de l’année, 447 300 équivalents-emplois à temps plein, soit un recul de -26,0 % en un an.
En septembre 1994, peu de salariés ont bénéficié d'une hausse de leur salaire de base. Les hausses accordées sont en moyenne faibles, mais le délai moyen entre deux augmentations est plus court que celui des mois précédents notamment pour les employés.
Les grandes entreprises européennes participent aujourd'hui d'un même mouvement de transformation de leurs processus productifs. Cet élément d'intégration transnational conduit peut-être à l'émergence d'un modèle européen de l'emploi.
Au cours du deuxième trimestre 1993, les intérimaires ont assuré un volume de travail correspondant à environ 250 000 emplois à temps complet. Autrement dit, près de 1,5 % du volume global de travail répond à des besoins très transitoires de l'activité.
La durée hebdomadaire du travail est stable par rapport au début du premier trimestre 1994. Elle s'établit, en moyenne, à 38,92 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,86 heures pour les non-ouvriers et à 38,99 heures pour les ouvriers.
En mai 1994, les ouvriers et les employés ont été plus nombreux à bénéficier d'une augmentation qu'en avril. Les proportions d'ouvriers et d'employés augmentés sont légèrement supérieures à celles de l'année dernière.