Les contrats uniques d’insertion et les emplois d’avenir en 2014
- 3 septembre 2015
- Dares Analyses N°064
413 000 contrats aidés ont débuté en 2014, 338 000 dans le secteur non marchand et 75 000 dans le secteur marchand.
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413 000 contrats aidés ont débuté en 2014, 338 000 dans le secteur non marchand et 75 000 dans le secteur marchand.
Six mois après la fin de leur contrat aidé, les résidents des zones urbaines sensibles (Zus) sont moins souvent en emploi durable (CDI, CDD de plus de six mois, titulaire de la fonction publique ou travailleur indépendant) que les habitants des quartiers avoisinants.
Cette enquête s'intéressait aux parcours professionnels et également aux liens entre la vie professionnelle et personnelle des salariés en contrat aidé dans le cadre du Plan de cohésion sociale et d’un échantillon témoin de demandeurs d’emploi.
Cette étude a pour objet d’évaluer l’impact causal du passage en contrat aidé (CIE, CAE, CAV et CI-RMA) sur la trajectoire professionnelle des demandeurs d’emploi.
Cette étude présente une évaluation de l'effet causal du passage en contrat aidé (CIE, CAE, CAV et CI-RMA) sur la trajectoire professionnelle des demandeurs d'emploi.
Cet article décrit les relations que les bénéficiaires de contrats aidés entretiennent à différents égards avec le marché du travail : parcours professionnel avant et après l'entrée en dispositif, perception de leur positionnement sur ce marché, ou opinion sur les contrats aidés.
Le Panel 2008 permet d’isoler l’effet du passage en contrat aidé et de répondre aux questions suivantes : les chances d’obtenir un emploi sont‑elles plus grandes après un contrat aidé ? Les emplois retrouvés sont‑ils de meilleure qualité ? Le contrat aidé ne fait‑il que différer l’accès à un emploi durable ?
Six mois après la fin de leur contrat, 36 % des personnes sorties d’un contrat unique d’insertion du secteur non marchand (CUI-CAE) et 66 % des personnes sorties d’un contrat unique d’insertion du secteur marchand (CUI-CIE), en 2012, sont en emploi.
Après un passage en contrat aidé, la plupart des anciens bénéficiaires estiment que leur situation financière reste difficile : 60 % déclarent que « c’est juste, il faut faire attention » et seuls 24 % disent ne pas rencontrer de difficultés financières.
Fin 2011, 31 % des bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) et 14 % des allocataires de l’allocation de solidarité spécifique (ASS) travaillaient, tout en percevant un minimum social.