Les emplois d'avenir
- 30 octobre 2014
- Dares Analyses N°081
Entre novembre 2012 et décembre 2013, 91 000 emplois d’avenir ont été prescrits, quasi exclusivement par les missions locales.
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Entre novembre 2012 et décembre 2013, 91 000 emplois d’avenir ont été prescrits, quasi exclusivement par les missions locales.
En 2012, près de 128 000 salariés en insertion ont travaillé dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), en moyenne chaque mois, soit une augmentation de 4,2 % par rapport à l’année précédente.
Au 2e trimestre 2014, l’activité économique a stagné pour le deuxième trimestre consécutif. Dans le même temps, l’emploi salarié marchand a légèrement rebondi (+8 300 postes après -20 100 postes au 1er trimestre 2014).
Au 1er trimestre 2014, l’activité économique est restée stable après avoir progressé de 0,2 % au trimestre précédent.
En 2012, 55,8 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,7 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
En septembre 1995, peu de salariés ont bénéficié d'une hausse de leur salaire de base. De plus, les augmentations accordées sont faibles, mais restent supérieures, pour les ouvriers comme pour les employés, à celles de septembre 1994.
Les augmentations de salaire négociées par les entreprises en début d'année, dans le cadre de la négociation annuelle obligatoire, ont été légèrement plus fortes qu'un an plus tôt, 2,3 % en moyenne par accord contre 2,0 %.
En juin 1995, les ouvriers et les employés ont été plus nombreux à recevoir une augmentation qu'en mai. Les augmentations accordées sont plus faibles, mais celles de mai avaient été particulièrement élevées.
En 1994, les employeurs du secteur non marchand ont signé 715 000 CES (+ 9 % par rapport à 1993) et 25 000 CEC (soit près de quatre fois le nombre de contrats signés en 1993).
En 1994, l'individualisation des salaires au sein des entreprises recule sensiblement, notamment la pratique d'augmentations totalement individualisées. Ce repli ne touche que les entreprises de moins de 200 salariés.