La moitié d’entre eux étaient mis à disposition par une association intermédiaire (AI), un tiers travaillaient dans un atelier et chantier d’insertion (ACI), et les autres dans une entreprise d’insertion (EI, 11 %) ou pour une entreprise de travail temporaire d’insertion (ETTI, 9 %).
142 000 personnes ont été recrutées par une structure de l’IAE. Les nouvelles embauches augmentent de 3,5 % dans les ACI et de 4,6 % dans les AI, tandis qu’elles diminuent dans les EI et les ETTI. Dans les ACI, qui proposent des contrats aidés aux personnes les plus éloignées de l’emploi, le plus souvent allocataires du RSA, le nombre de salariés embauchés ou renouvelés a continué de progresser, quoique plus lentement que l’année précédente. Il décroît pour la deuxième année consécutive dans les EI.
L’activité des ETTI ralentit en 2012, suivant la trajectoire de l’intérim au sens large.
Les salariés passés par une structure de l’IAE sont peu nombreux à être en emploi à la sortie : c’est le cas d’un tiers des sortants d’AI et de moins d’un quart des sortants d’EI.
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