La structure des rémunérations en 2006
- 31 juillet 2009
- Dares Analyses N°31.4
En 2006, dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel, 82 % des salariés ont perçu des primes et compléments de salaires.
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En 2006, dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel, 82 % des salariés ont perçu des primes et compléments de salaires.
En 2005, le profil des salariés recrutés dans le secteur privé diffère sensiblement selon le genre.
Le fort recul de l’activité française s’est poursuivi au 1er trimestre 2009 (-1,2 %, après une baisse de -1,4 % au 4ème trimestre 2008), entraînant une sévère contraction de l’emploi.
Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
D’un trimestre à l’autre, le nombre moyen d’heures supplémentaires déclarées par salarié à temps complet diminue de -11,0 % au 1er trimestre 2009 par rapport au 4ème trimestre 2008.
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
En 2006, dans les entreprises du secteur concurrentiel, un salarié sur six perçoit un bas salaire, c’est-à-dire un salaire brut mensuel inférieur aux deux tiers du salaire médian.
Dans l’ensemble des entreprises des secteurs principalement marchands hors agriculture (1), les effectifs salariés diminuent de 0,9 % sur le premier trimestre 2009 et de 2,0 % sur un an.
En 1990, comme en 1989, 36 % des entreprises ont accordé des hausses individualisées, le plus souvent associées à des hausses générales (23 %). Le recours à cette forme de rémunération, qui progressait depuis 1985, marque le pas en 1990.
La durée hebdomadaire effective du travail est stable par rapport à celle enregistrée début janvier 1991. Elle s'établit à 38,96 heures pour l'ensemble des salariés, à 39,09 heures pour les ouvriers et 38,84 heures pour les non-ouvriers.