Les candidats à la validation des acquis de l’expérience
- 25 février 2010
L’enquête vise à caractériser les publics candidats à la la validation des acquis de l’expérience.
8 résultats
L’enquête vise à caractériser les publics candidats à la la validation des acquis de l’expérience.
En 2008, 10 700 dossiers de candidatures à un titre professionnel du ministère chargé de l’emploi ont été jugés recevables à la validation des acquis de l’expérience.
L’enquête visait à retracer les trajectoires professionnelles des personnes passées par des dispositifs de la politique de l’emploi à la fin des années 90 et d'évaluer l'efficacité des contrats aidés ou stages de formation.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
En 2007, 10 200 dossiers de candidatures à un titre professionnel du ministère chargé de l’emploi ont été jugés recevables à la validation des acquis de l’expérience. Près de 9 000 candidats se sont présentés à une épreuve de validation.
Entre juillet 2002 et décembre 2007, 441 000 jeunes ont été embauchés dans le cadre d’un « Contrat jeunes en entreprises » (ou dispositif de « Soutien à l’emploi des jeunes en entreprises » ), dont 92 000 pour l’année 2007.
L'enquête visait à obtenir une description concrète du travail, de son organisation et de ses conditions selon divers angles : horaires, rythmes de travail, efforts physiques ou risques encourus, pénibilité, organisation du travail, sécurité, coopération, conflits…
Dès la première loi Aubry, il est apparu que le passage à 35 heures allait poser des problèmes spécifiques aux entreprises de 20 salariés ou moins (TPE), si bien qu’une application décalée de deux ans de la nouvelle durée légale fut décidée.