La structure des rémunérations en 2010
- 24 septembre 2012
- Dares Analyses N°063
Les primes représentent en moyenne 12,9 % de la rémunération dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé.
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Les primes représentent en moyenne 12,9 % de la rémunération dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,2 % des salariés travaillent à temps complet au deuxième trimestre 2012.
L’enquête visait à l’analyse de la relation entre salariés et direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social, etc.).
Trois niveaux de fixation des salaires coexistent en France : le niveau national avec la revalorisation du Smic par l’État, le niveau des branches avec la négociation des minima conventionnels et celui des entreprises avec la négociation annuelle sur les salaires.
Dans les entreprises de dix salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,3 % au quatrième trimestre 2011 et de 2,3 % sur un an.
Cette étude analyse, à partir du panel Dads, le devenir salarial des jeunes de 18 à 25 ans entrés sur le marché du travail dans le secteur privé entre 1995 et 2002 et rémunérés parmi les plus basses rémunérations à partir du panel Dads.
Les allégements de cotisations sociales patronales sur les bas salaires, instaurés en 1993 et progressivement étendus depuis, constituent aujourd’hui une composante majeure de la politique en faveur de l’emploi en France.
En octobre 1995, un salarié d'un petit établissement, de un à dix salariés, gagne en moyenne 10 780 francs en rémunération brute, soit 2,5 % de plus qu'en octobre 1994 (2,8 % pour les ouvriers, 1,9 % pour les cadres).
En 1995, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,8 % de leur rémunération sous forme de primes. Les primes mensuelles représentent 6,8 % de la rémunération totale (6,7 % en 1994). La part des primes non mensuelles augmente. Elle est de 8 % en 1995.
Fin 1993, 15 000 entreprises employant 4,5 millions de salariés avaient un accord de participation. En 1994, six sur dix ont pu effectivement dégager des sommes au titre de l'exercice comptable 1993.