Les écarts de salaires femmes-hommes en 2010
- 29 décembre 2015
- Document d'études N°196
Les écarts de salaires femmes-hommes sont très différents d’une zone d’emploi à l’autre (1,6 % à 26,9 % en faveur des hommes en 2010).
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Les écarts de salaires femmes-hommes sont très différents d’une zone d’emploi à l’autre (1,6 % à 26,9 % en faveur des hommes en 2010).
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,3 % des salariés travaillent à temps complet à la fin du mois de septembre 2015.
En 2012, dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé, les primes et compléments de salaires ainsi que le paiement des heures supplémentaires ou complémentaires ont représenté en moyenne près de 15 % de la rémunération brute totale.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,3 % des salariés travaillent à temps complet à la fin du mois de septembre 2014.
The Europe 2020 strategy aims to make the EU a smart, sustainable and inclusive economy with high levels of employment, productivity and social cohesion.
En 2010, dans un contexte de crise économique profonde, environ 6 % des établissements de 20 salariés ou plus n’ont accordé ni augmentations ni primes à leurs salariés, soit 2 fois plus qu’en 2004.
Conformément à la loi du 3 décembre 2008, le nouveau groupe d’experts indépendants nommé en mai 2013 livre ici son analyse du salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC) et son avis sur son évolution.
En 2011, dans un contexte d’activité économique ralentie, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 32 milliards d’euros.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,1 % des salariés travaillent à temps complet fin septembre 2013.
Au 1er janvier 2013, la revalorisation du Smic horaire a concerné 12,3 % des salariés, soit près de 1,9 million de salariés (hors apprentis et intérimaires) des entreprises du secteur concurrentiel, après 11,1 % au 1er décembre 2011 et 10,6 % au 1er janvier 2011.