Un meilleur emploi grâce aux réseaux de relations pour les immigrés ?
- 29 juin 2018
- Document d'études N°222
Il est plus difficile pour les immigrés que pour les natifs de trouver un emploi dans leur pays d’accueil.
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Il est plus difficile pour les immigrés que pour les natifs de trouver un emploi dans leur pays d’accueil.
À la fin du 1er trimestre 2018, le nombre de bénéficiaires d’emplois aidés en France métropolitaine s’élève à 1,21 million, en baisse de 98 000 par rapport au 4e trimestre 2017.
45 % des bénéficiaires d’un contrat aidé ont suivi au moins une formation (autre qu’une adaptation au poste de travail) dans les six mois qui ont suivi leur recrutement en contrat unique d’insertion ou en emploi d’avenir.
En 2013, 534 000 jeunes de 16 à 25 ans ont été accueillis pour la première fois dans le réseau des missions locales, soit une augmentation de 5 % par rapport à 2012 et de 10 % par rapport à 2011.
Les objectifs régionaux d’embauches en contrats aidés sont très encadrés au niveau national, mais leur pilotage est largement territorialisé et leur mise en oeuvre est le fait des services déconcentrés du ministère chargé de l’emploi.
Six mois après un contrat de professionnalisation arrivé à échéance en 2011, 76 % des anciens bénéficiaires sont en emploi, chez le même employeur dans 1 cas sur 2.
Au 4e trimestre 2013, l’activité économique a progressé de 0,3 % après avoir stagné au trimestre précédent.
L'objectif était d’analyser l’usage que les employeurs font des dispositifs d’aide à l’emploi.
Mis en œuvre par le réseau des missions locales depuis avril 2005, le contrat d’insertion dans la vie sociale (Civis) vise à accompagner les jeunes en difficulté vers l’emploi durable.