Conjoncture de l'emploi et du chômage au 1er trimestre 2014
- 15 juillet 2014
- Dares Analyses N°054
Au 1er trimestre 2014, l’activité économique est restée stable après avoir progressé de 0,2 % au trimestre précédent.
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Au 1er trimestre 2014, l’activité économique est restée stable après avoir progressé de 0,2 % au trimestre précédent.
En 2012, 55,8 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,7 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
Au 4e trimestre 2013, l’activité économique a progressé de 0,3 % après avoir stagné au trimestre précédent.
L'objectif était d’analyser l’usage que les employeurs font des dispositifs d’aide à l’emploi.
En 2011, dans le secteur privé et les entreprises publiques, la rémunération brute mensuelle moyenne des salariés en équivalent-temps plein (EQTP) s’est élevée à 2 829 euros (+2,4 % par rapport à 2010) et le salaire moyen net de tous prélèvements sociaux à 2 128 euros (+2,3 %).
En 1992, 30 % des entreprises ont accordé des hausses individualisées contre 38 % en 1991. La diffusion de cette forme de rémunération marque un recul prononcé en 1992.
Au cours de ces trois premières années de fonctionnement, le dispositif CFI_Jeunes a bénéficié à un public âgé principalement de 18 ans et plus, et majoritairement féminin. Les jeunes entrent dans le CFI de plus en plus tôt au sortir du système scolaire.
En 1992, des employeurs du secteur non marchand ont signé 600 000 contrats emploi-solidarité avec des jeunes en difficulté ou des adultes chômeurs de longue durée, soit 142 000 de plus qu'en 1991. A la fin décembre, 357 000 salariés étaient employés sur un CES.
Les années 1990 à 1992 ont été marquées par une augmentation importante du nombre d'entreprises et de salariés bénéficiant du dispositif d'insertion.