L’insertion par l’activité économique en 2019
- 18 mars 2021
- Dares Résultats N°11
Fin 2019, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) compte 134 300 salariés (+1,4 % par rapport à fin 2018).
11 résultats
Fin 2019, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) compte 134 300 salariés (+1,4 % par rapport à fin 2018).
Le nombre de journées individuelles non travaillées (JINT) pour 1 000 salariés augmente de 51 % et s’établit à 107 en 2018.
16,7 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole déclarent qu’une négociation collective a été engagée en 2018.
Après une forte hausse en 2016 (+6,4 %), l'effort de formation reste stable en 2017 (-0,1 %). Rapportée au PIB, elle reste d’un ordre de grandeur similaire (1,1 % en 2017, contre 1,2 % en 2016).
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.
Lors de ce travail qualitatif mené auprès d’un échantillon de 16 entreprises, les auteurs ont tout d’abord cherché à savoir si les renégociations avaient abouti à une augmentation significative du temps de travail ?
En 2004, plus de 2 000 structures d’insertion par l’activité économique étaient en activité : entreprises d’insertion, entreprises de travail temporaire d’insertion et associations intermédiaires
En 2004, 2 500 embauches ont ouvert droit à une exonération au titre des zones de redynamisation urbaine (ZRU).
En 2003, l’activité des organismes de formation continue reste soutenue : leur chiffre d’affaires progresse de 10 % et le nombre de stagiaires de 9 %. Les entreprises et les pouvoirs publics apportent deux tiers des financements.
La dépense globale de la Nation en faveur de la formation professionnelle continue et l’apprentissage a augmenté de 1,8 % en 2003.